Booba, voilà presque deux mois que les médias francophones ne parlent plus que de lui.Chaque jour ou presque, on est bombardés d’interviews, reportages, chroniques, et autres articles.
Pour ne citer que les plus marquants ou plus connus: le Grand Journal de Canal+, Touche Pas à Mon Poste sur D8, le Parisien, les Inrockuptibles, Libération, ou encore le 20 Minutes. Tout récemment, c’est même Groland, l’émission culte de Canal, qui le parodiait ; une petite consécration en soi, l’aboutissement d’une campagne rondement menée1.
Partie 3: « GROS CHÈQUES, MALGRÉ ÉCHEC SCOLAIRE »
Voyage interstellaire se poursuit. Rappel. On en est maintenant à la troisième partie de cet article. Pour ceux qui ne l’auraient pas compris, le propos qu’on défend est à appréhender dans son entièreté. Cinq parties sont prévues. Patience donc.
Reprenons là où on s’en était arrêtés. Booba révolutionne la langue française. Oui, on sait, certains ne seront pas d’accord. Ne sont pas d’accord. Certains ont certainement ri après lecture de la partie précédente. Bien. Quels sont les arguments ? Que d’autres ont déjà enlevé les déterminants avant lui ? Qu’il ne s’agit en aucun cas d’une nouvelle grammaire, mais d’une figure de style connue? L’ellipse par exemple ? Eh bien, mettons. C’est probablement vrai. L’ellipse, parlons-en. Elle intervient lorsqu’on omet des éléments dans une phrase. Bonne piste. Mais premièrement, elle est le plus souvent utilisée pour éliminer un sujet, ou un verbe1. B2O, lui, c’est les déterminants.
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rap de france