Découvrez les Paroles Réel – 1995 (lyrics)
[Fonky Flav’]
Tu sais qu’c’est réel quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
[Areno Jaz]
Tu sais qu’c’est réel quand tu sors la tête de l’écran
Tu vibres et tu vis vraiment
[Sneazzy West]
Le réveil est impossible dans ce monde utopique
Ça en devient presque hilarant
Tu sais pertinemment qu’tu t’trompes mais tu t’obstines
Cette merde est abstraite, le succès est éphémère
C’est la fin il faut qu’tu t’apprêtes mais tu préfères laisser faire
A force de trop vite s’initier au rap on rentre dans une matrice
On s’sent comme une machine, productivité
[Nekfeu]
J’en ai assez de voir des femmes au coeur de pierre
Souiller le monde, elles confondent l’amour et le sexe
Elles veulent te faire toucher le fond
On grandit au son des innocents, discours grandiloquents
En ignorant qu’l’amour fait ressentir un manque sanguinolent
Des blessures insensibles au temps, j’te l’ai déjà dit dans Suga
J’écoutais autant de Booba, quatre couplets de rap sur
J’ai dit je t’aime à mes ex
Maintenant j’essaye de ne plus prendre le poids des mots à la légère
Hédoniste authentique, j’suis foutu d’avance
L’amour dure trois ans pour les égoïstes romantiques
J’ai eu du mal à me relever à force de trop faire le tombeur
Tes amis protègent ton dos mais personne protège ton coeur
[Fonky Flav’]
Tu sais qu’c’est réel quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
Tu sais qu’c’est réel quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
[Areno Jaz]
Tu sais qu’c’est réel quand tu sors la tête de l’écran
Tu vibres et tu vis vraiment
[Sneazzy West]
Je n’parle pas de flag mais viendra l’jour où j’vais tirer ma révérence
Saleté d’rap, j’gratte les mailles
Mais j’ai jamais kiffé m’laver les dents
J’fais l’taff tant bien qu’mal
En sachant que t’oublies ce temps d’attente pour si peu
Bon c’est grave, j’en ai marre
[Alpha Wann]
De toute cette poudre aux yeux
Nique les rêves précaires
On veut du moins on espère du vrai, du réel pour nos yeux
[Sneazzy West]
J’ai vu tous ces artifices donc j’suis parti vite
[Alpha Wann]
If you feel that it’s true
[Areno Jaz]
Rien d’neuf j’préfère toujours les amis yo
Qu’on perd
Les … des compères
Ces animaux m’pompent l’air
J’respire sur mes frérots soufflant
Reste dire, sur des bédos souvent
Bien entouré pourtant j’insiste pas
Mes frangins si t’as rien dans l’cours viens en tournée
J’rappe pour arroser mes potes et rouler de l’herbe
Car appliqué par amitié j’fais groover le verbe
Représenter et je prétends qu’mes refrès l’sentent
Et j’l’fais chanter dans les textes erants
En espérant que ça t’fera taire pitié
J’vais faire rimer l’éternité avec la fraternité
[Fonky Flav’]
Tu sais qu’c’est réel quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
Tu sais qu’c’est réel quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
[Areno Jaz]
Tu sais qu’c’est réel quand tu sors la tête de l’écran
Tu vibres et tu vis vraiment
[Fonky Flav’]
Ok plus l’temps passe et plus j’m’évade
Triste sénar
Les gens sont gué-lar par des techniques d’attaque de mon squat
On arrive groupés
Pour court-circuité l’stemsy
Saoûlés par c’qu’on nous sert d’la merde
Vous n’pouvez on doutez
J’vois les tits-peu l’image leur broie le cerveau
C’est chaud
Imagine ta p’tite reus au bout d’un bédo
Moi j’avance loin des stéréotypes
Chérie coupe la télé on sort
La vraie vie c’est dehors et pas dans les vidéos clips
Et j’ai d’la peine pour ces p’tits bouffons sous ces
Pétés d’oseille dans les soirées branchés n’ont qu’à s’faire mousser
En bref frangin faut qu’tu réalises avant qu’ça parte en couille
Soit t’ouvres les yeux soit tu cèdes au vice et la matrice te coule
[Areno Jaz]
Tu vibres et tu vis vraiment
[Fonky Flav’]
Tu sais qu’c’est réel quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
Tu sais qu’c’est réel quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
[Areno Jaz]
Tu sais qu’c’est réel quand tu sors la tête de l’écran
Tu vibres et tu vis vraiment
[Fonky Flav’]
Tu vibres et tu vis vraiment