IAM : L’Ecole du Micro d’Argent enfin réédité en version collector ! L’album mythique du groupe Marseillais enfin réédité en édition livre 4CD limitée, sortie le 30 septembre 2013.
Parlophone Music France est fier d’annoncer la réédition en version collector de « L’École du Micro d’Argent », troisième album studio du groupe marseillais IAM, consacré meilleur album de l’année lors de l’édition 1998 des Victoires de la Musique.
Paru en 1997, « L’École du Micro d’Argent », est à ce jour, l’album de rap français ayant eu le plus de succès dans l’hexagone.
Porté par des titres imparables comme « Petit Frère », « Nés Sous la Même Etoile », « L’Empire du Côté Obscur » ou l’épopée « Demain C’est Loin », l’album dépasse aujourd’hui les 1,6 millions d’exemplaires vendus.
Le 30 septembre prochain, sortiront deux nouvelles version de « L’École du Micro d’Argent ». La première, conditionnée dans un format beau livre de 80 pages, en édition limitée, réunira pour les fans l’album original et 3CD contenant 43 titres bonus (faces B, raretés, remixes et versions instrumentales) dont une version originale inédite de « Dangereux » et une version démo de « Demain C’est Loin ». Le livre proposera toutes les paroles des chansons, de nombreuses photos rares du groupe, et une nouvelle interview d’IAM recueillie en juillet 2013 évoquant la genèse de l’album.
Une édition digipack 3CD sera également disponible le 30 septembre et réunira l’album original, plus 2CD contenant 25 titres bonus.
Un avant et un après. En mars 1997, la France bégaye. Maurice Papon réveille l’Histoire avec son procès et ça pue le soufre. Le Commandant Cousteau, Jeanne Calment, Lady Di et le Club Dorothée disparaissent. Jacques Chirac dissout l’Assemblée. Les magnétoscopes tremblent avec l’arrivée du dvd et ils ont raison. Zidane n’a pas encore crucifié le Brésil en finale. Un avant et un après.
Alors que la variété française titube, que les comédies musicales commencent à hurler leurs mélodies infernales et que la téléréalité s’apprête à déferler pour le pire, une ligne de fracture se dessine à l’horizon. Un album, d’abord annoncé comme une catastrophe industrielle, comme une prophétie noire, comme une Arlésienne de première, déchire les ultimes certitudes : “L’École du Micro d’Argent”, du groupe marseillais IAM.
Mars 1997. Après de longs mois d’attente, autant dus à l’impatience des fans après le succès massif de “Ombres et Lumières” en 1993 qu’à l’acharnement d’un groupe à accoucher d’un disque-monolithe d’importance, “L’École du Micro d’Argent” déferle enfin dans les bacs.
Mais de quoi s’agit-il exactement ? Tout simplement d’un disque qui fera date. D’une part pour ses ventes aujourd’hui encore inégalées dans le rap français : 1 600 000 copies écoulées et le compteur tourne toujours en 2013, d’autre part, pour ce son à la puissance tellurique et aux flammes rédemptrices, un son à la fois puissant et proche de l’os, un son qui va imposer un avant et un après.
IAM, après des mois et des mois de création intensive sur deux continents, sans jamais abandonner la barre aux vents de la facilité et de la trouille, délivre un album phare, dessine LA route désormais à suivre pour tous les autres. En seize titres autant crépusculaires qu’imparables, visionnaires qu’évocateurs, il dépoussière les habitudes et modifie en profondeur la donne.
Un avant et un après, exactement.
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