Gradur « J’ai envoyé un album en février et on me dit Fils de P*** elle est où ta mixtape ? » Deuxième partie de l’interview consacrée à Gradur par Rapelite. Sur sa mixtape SHEGUEYVARA 2 l’artiste avoue avoir tenté plusieurs choses et prévoit déjà que son public sera étonné de certains titres beaucoup plus chantés et mélodieux. Loin d’une logique commerciale ou calculatrice l’artiste constate que «la date de péremption d’un son chanté (n’) est pas la même qu’un son rap».
En termes d’objectifs, il ne se fixe pas de chiffre de ventes exact. Il espère seulement que les critiques seront meilleures que celles qu’il a reçu sur L’HOMME AU BOB. Il estime avoir évolué en termes d’écriture mais aussi de flow. Conscient de la chance qu’il a, il avoue « même si je fais 3000 ventes je suis content, je reviens de loin ».
Gradur se livre comme rarement sur son rapport à la musique et l’influence que celle-ci a eu sur sa vie. «La musique m’a sorti de la merde » explique l’artiste qui a connu une période difficile ans sa vie avant de rencontrer le succès.
