Karim Benzema «Un gros malentendu» sur l’affaire de la sextape de Valbuena

Karim Benzema «Un gros malentendu» sur l'affaire de la sextape de Valbuena

Karim Benzema va sortir du silence concernant l’affaire de la sextape de Valbuena ce soir dans le journal de 20h sur TF1 dans une interview très attendue pour donner sa version des faits de la polémique qui touche l’équipe de France de Football depuis plusieurs semaines.

En attendant cet entretien télévisé le journal Le Monde a révélé la déposition de l’attaquant du Real Madrid et de l’équipe de France devant la juge de Versailles le 5 novembre dernier :
«Je pense que c’est un gros malentendu, tout ça. Au départ, je voulais le mettre au courant d’une histoire qu’il y avait sur lui et l’aider. Parce qu’on m’a déjà fait ça, le même style de fait. C’est quelqu’un qui joue avec moi en équipe de France, c’est un pote. Je voulais le mettre au courant de cette histoire et discuter avec lui pour lui faire part que moi aussi ça m’était arrivé et voir ce qu’il en pensait. La vidéo, je ne l’ai pas vue. J’ai dit que je l’avais vue, mais ce n’est pas vrai. Je me suis fait un film là-dessus, et voilà. Vous pouvez écouter toutes mes conversations, parfois au téléphone, j’abuse un peu, je déconne. Je ne parle que d’aide. Je n’avais pas autre chose derrière la tête» a-t-il déclaré.

Benzema s’est également expliqué sur le terme de « T*rlouze » utilisé pour parler de Matiheu Valbuena : «Forcément, je suis énervé. Je me suis dit qu’il (Valbuena) était allé me dénoncer à la police, alors que j’étais allé le voir. Après, « tarlouze », on peut le dire à tout le monde, à ses amis, à ses potes. Pour moi, pour la nouvelle génération, c’est amical. (…) Je ne sais pas pourquoi on rigole comme ça, parce que c’est pas bien. » et de conclure sur le rôle de Karim Zenati : « Bien sûr qu’il voulait aider gratuitement. Pour moi oui, parce qu’il ne manque de rien. C’est pour ça que je ne comprends pas l’histoire de chantage et d’argent. Je suis vraiment déçu de l’ampleur de cette histoire, parce que chantage, des trucs comme ça, franchement c’est grave. (…) Quand j’en ai parlé au téléphone, on rigolait, on n’a pas pris l’ampleur du truc, ça me retombe dessus une nouvelle fois.».

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