Orelsan a été une nouvelle fois jugé ce jeudi 18 février par la cour de d’appel de Versailles pour ses textes violents envers les femmes, le rappeur a été relaxé par le tribunal alors qu’il était poursuivi par plusieurs associations de défense des droits des femmes comme les Chiennes de garde ou encore le Collectif féministe contre le viol pour le motif de provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence contre les femmes.
« J’respecte les schnecks avec un QI en déficit, celles qui encaissent jusqu’à devenir handicapées physiques. Renseigne-toi sur les pansements et les poussettes, Je peux faire un enfant et te casser le nez sur un coup de tête. Ferme ta gueule ou tu vas te faire marie-trintigner » sont les paroles pour lesquelles Orelsan était poursuivi par les associations féministes mais la cour d’appel a relaxé le rappeur se justifiant que le rap est « par nature un mode d’expression brutal, provocateur, vulgaire, voire violent puisqu’il se veut le reflet d’une génération désabusée et révoltée. Condamnés ces propos reviendrait à censurer toute forme de création artistique inspirée du mal-être, du désarroi et du sentiment d’abandon d’une génération en violation du principe de la liberté d’expression ».
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