Accusé d’agressions sexuelles, au mois de septembre dernier, Moha La Squale s’était retrouvé en pleine polémique impliqué dans une affaire de violences infligées à des jeunes femmes qui ont porté plainte contre lui, il y a quelques semaines le rappeur français était sorti du silence sur les réseaux après une longue période d’absence pour annoncer vouloir rétablir la vérité sur cette affaire.
Dans ce dossier le Moha est ciblé par 5 plaintes par plusieurs jeunes femmes l’accusant de viol, violence ainsi que de séquestration ce qui l’avait d’ailleurs contraint à repousser son album L’Apache à une date ultérieure qui n’est pas encore fixée pour le moment. Sous les feux des critiques depuis le début de cette polémique, l’artiste s’est fait très discret et son avocate s’est exprimée à ce sujet en réaction à son jugement pour une autre affaire cette semaine. En effet suite au jugement de Moha La Squale pour refus d’obtempérer aggravé, outrage sur personne dépositaire de l’autorité publique et rébellion après son interpellation mouvementée au mois de juin 2020 à Paris, l’avocate du rappeur s’est confiée sur la condamnation à 6 mois de détention à domicile de son client dans l’émission “Non Stop Info” qui s’attendait à ce qu’il soit sanctionné mais que la peine aurait pu être plus lourde.
“Quand il y a une condamnation, on est rarement satisfait. Mais s’il y a un motif de satisfaction à avoir, c’est quand même de reconnaître que le tribunal a rendu une condamnation qui est beaucoup plus basse que ce qui avait été demandée par le parquet“ a déclaré Me Elise Arfi tout en précisant, que son client “s’attendait à avoir une sanction, il n’y a pas de surprise” et qu’il devra porter un bracelet électronique. L’avocate de Moha La Squale s’est également expliquée sur le dossier des accusations d’agressions sexuelles à l’encontre de l’artiste qui est actuellement en cours et dont il souhaite prouver son innocence, “Les plaignantes se sont très, très amplement répandues sur les réseaux, également via leurs avocats dans la presse écrite. Dans ce dossier, nous n’avons pas la copie de la procédure, nous n’avons pas accès au dossier. a-t-elle détaillé avant de conclure avoir déposé un dossier pour “dégonfler sacrément cette affaire”, “On a pu quand même reconstituer de qui il s’agissait, qui sont les plaignantes et mon client conteste fermement les accusations contre lui.“.