Les agissements des influenceurs continuent de faire débat, le chroniqueur de TPMP, Guillaume Genton a profité de l’invitation de Magali Berdah dans l’émission pour s’exprimer à ce sujet et dénoncer les anarques de ces personnes que les traitant de personnes sans aucun talent mais qui sont rémunérées 100 000 euros par mois.
La patronne de Shauna Events de passage dans TPMP ce mercredi s’est attiré les foudres de Cyril Hanouna et de ses chroniqueurs. Magali Berdah a tenté de se défendre face aux accusations d’avoir mis en place son business grâce à des arnaques pour tromper les abonnés des comptes d’influenceurs sur les réseaux sociaux notamment avec des placements de produits frauduleux. Passablement énervé, Guillaume Genton n’a pas hésité à s’exprimer ouvertement sur le sujet.
Magali Berdah dégouté par le métier d’influenceur !
« Influenceur ce n’est pas un métier. J’en ai marre du système d’Instagram, de l’apologie du vide et du rien (…) Poser en string devant une piscine et rien foutre de ses journées, ce n’est pas un métier » a-t-il lâché en direct sur C8 en qualifiant le métier d’influenceur d’un « truc de crevard ». « Vous trouvez ça normal que des gens qui n’ont aucun talent, qui ne foutent rien de leur journée, soient payés 100 000 euros par mois alors que des gens se lèvent à 6h du matin pour aller travailler ? C’est un modèle terrible pour la jeunesse. Que ces gens-là aillent bosser comme tout le monde et qu’on arrête de les valoriser financièrement et socialement » s’agace Guillaume Genton.
Très remonté le chroniqueurs poursuit assurant qu’une partie des influenceurs sont « prêts à tout pour de l’argent » comme « arnaquer, mentir et faire des films p*rn*graphiques ». « Je ne suis pas quelqu’un d’aigri ou de jaloux, mais ça me met mal à l’aise que quelqu’un qui n’a rien foutu de sa vie, qui est passé une fois dans La Villa des Coeurs Brisés, gagne 50 000 euros par mois, le salaire d’un grand patron ou 10, 20 fois le salaire de quelqu’un qui se fait chier à se lever tous les matins » précise-t-il avant de conclure, « Ils influencent dans le mauvais sens du terme une jeunesse qui est naïve et qui est prête à tout. Le pire, c’est qu’aujourd’hui c’est un modèle de réussite ».