Connu dans le MMA pour son trash-talking notamment pour défier les autres combattants, cela parfois failli coûter cher à Cédric Doumbé dans certaines circonstances pour a usé de la provocation à ses dépens comme il l’a confié dans une récente interview dans une anecdote qui aurait pu mal terminer.
Dans ce quartier, l’humour de Cédric Doumbé n’est pas passé
Le trash-talking de Cédric Doumbé n’est pas apprécié de tous et il aurait pu se faire passer à tabac pour en avoir abusé. Après avoir révélé qui l’a poussé à se lancer en MMA dans l’émission Amuse Bouche, à l’occasion d’un entretien avec Guillaume Pley dans son nouveau programme Legend, le kick-boxeur franco-camerounais dont les fans attendent toujours qu’il rejoigne l’UFC pour ses prochains combats dans l’octogone a fait une surprenante déclaration sur la foi où sa façon de chambrer verbalement lui a causé quelques soucis.
« J’ai déjà eu des soucis en parlant trop une fois. Je suis allé dans une ville, et j’ai fait ce que je pensais être du trash-talk. Je ne voyais pas vraiment le problème, mais il y a eu un attroupement autour de moi. Ça a failli partir, heureusement qu’il y avait une personne pour me défendre, une personne très connue dans le quartier où j’étais. Mais j’étais seul », raconte Cédric Doumbé sur le contexte de cette anecdote.
Une bagarre a failli éclater en pleine rue
« C’était une surprise parce que pour moi, il n’y avait pas de souci. Mais si, il y avait un souci. J’ai expliqué que je rigolais, que c’était du trash-talk, mais ils m’ont bien dit qu’ils ne rigolaient pas avec ça, ça n’existait pas chez eux. J’ai compris qu’on n’était pas aux États-Unis. Mais sinon, dans la rue, je n’ai jamais croisé un gars qui me parle comme sur Twitter. », décrit-il ensuite sur le fait de ne pouvoir se comporter comme aux Etats-Unis ou sur les réseaux dans ce quartier.
Même s’il s’est fait une petite frayeur, Cédric Doumbé explique ensuite que grâce à un ami, cela s’est finalement bien déroulé, « Les gens qui vont être hostiles dans la vie, ce sont ceux qui aiment vraiment la personne que j’ai attaqué avec mon trash-talk. Et souvent les mecs de quartier. Ce n’est pas encore arrivé jusque-là. J’ai pu m’en sortir grâce à tonton Pierre. Il s’est mis devant moi et je l’ai suivi. Depuis ce jour-là, j’aime les Congolais. ».