« Droit de réponse de la société ADL CAPITAL, éditrice de l’application LAYMOON
Le 20 juin 2024, un article signé par Grégory KOCHER, intitulé « Nasdas : toute la vérité sur son arnaque à la carte bancaire dévoilée » était publié sur le site www.13or-du-hiphop.fr.
L’article se propose de traiter de la polémique entourant le partenariat mis en œuvre entre l’application de paiement LAYMOON et deux influenceurs (Nasdas et HMI) qui souhaitaient, dans le cadre d’un jeu concours, mettre à la disposition gratuite et sans frais de leurs abonnés, une cagnotte d’un montant total de 100.000 euros.
L’opération projetée consistait, pour les internautes, à télécharger l’application LAYMOON et à y accéder en Inscrivant les codes donnés par les influenceurs sur leurs réseaux sociaux, leur permettant ainsi, en fonction de leur rapidité, d’accéder à des enveloppes de sommes spécifiques.
Cette opération, inédite, s’inscrivait dans la volonté de LAYMOON de mieux sécuriser les opérations déjà menées par les influenceurs (consistant à offrir leurs coordonnées bancaires en ligne), en leur évitant tout risque de fraude et de détournement de leurs informations personnelles.
Contrairement à ce que laisse entendre l’article, les personnes souhaitant participer à ce jeu-concours n’étaient nullement contraintes de créer un compte LAYMOON, et par conséquent de souscrire à un abonnement payant à cette application, qui offre par ailleurs des services bancaires en ligne.
La seule condition pour pouvoir participer à l’opération était de télécharger l’application et d’y insérer, dans un onglet spécifique visible, les mots de passe qui devaient être transmis par les influenceurs. Une fois ces données inscrites, le participant pouvait procéder à un virement vers le compte bancaire de son choix, qui pouvait être de n’importe quelle banque. Ces éléments, qui figurent dans le règlement du jeu-concours accessible sur le site internet de l’application, ont été rappelés par les influenceurs dans leur communication de manière parfaitement claire et transparence.
L’opération n’a jamais eu pour objet de contraindre les internautes à souscrire à un abonnement payant à LAYMOON, ni les à contraindre à utiliser les services offerts par l’application, l’opération étant gratuite et libre de toute souscription. Cette absence d’obligation de souscription a d’ailleurs été constatée par un commissaire de justice mandaté à cet effet.
L’accusation d’ « arnaque », relayée par l’article en cause n’a donc aucun fondement et surtout aucun sens: aucun abonné ne s’est vu contraint de payer pour participer à l’opération, contrairement à ce que prétend l’article.
LAYMOON opère dans un environnement juridique extrêmement contraint, et s’est assuré de la préservation non seulement de la confidentialité des données personnelles des participants, mais également de la parfaite régularité de l’opération avant sa mise en œuvre.
Pour preuve qu’aucune fraude n’a été constatée, il est rappelé que seuls 0,3 % des personnes ayant téléchargé l’application sur la période du jeu-concours ont souscrit un abonnement. Afin d’éviter que ces nouveaux abonnés alent cru que cette souscription était obligatoire, LAYMOON a décidé d’office de les rembourser intégralement de leurs frais d’ouverture de compte ».
