Gradur s’embrouille avec un internaute après un tweet raciste

Gradur s'embrouille avec un internaute après un tweet raciste
Après avoir sorti le premier single de sa compilation 100% Congo avec le titre « Ti ti ti » en compagnie de SDM et Rsko, Gradur reste très actif sur les réseaux et décidé de prendre la parole pour répondre à un tweet raciste d’un internaute avant de s’embrouiller avec celui-ci.

Gradur recadre un internaute, ça part au clash !

Tout est parti d’un tweet de Grégory Roose, un écrivain et éditorialiste qui déplore qu’aucun « blanc » ne figure dans les athlètes français présents aux Jeux Olympiques de Paris. « Voici les 14 athlètes de la délégation française de judo aux JO«  écrit-il avant d’ajouter « La Diversité, c’est quand il y a trop de Blancs en France et qu’il faut en retirer. Mais quand il n’y en a plus, comment appelle-t-on cela ? » puis une attaque contre Aya Nakamura, « On a bien envoyé Aya Nakamura en tête d’affiche alors que c’est tout sauf la meilleure. ».

« Les pleureuses dans mes mentions seraient les premières à hurler ( j’en serais également) si une sélection sportive d’Algérie ou du Mali ressemblait à ça » ajoute-t-il en publiant une photo de l’équipe de football du Danemark. « C’est la faute de l’immigration si vos enfants sont nuls en sport ? » a répondu à internaute à Grégory Roose, un tweet partagé par Gradur qui est ensuite sorti du silence à son tour avec la réponse : « Au pire inscris tes enfants au judo alors parce qu’être raciste, c’est pas un sport reconnu qui pourra les ramener aux jeux olympiques s*** enfant de p***** ». Un échange houleux entre les deux hommes a ensuite suivi.

« Et les tiens d’enfants, tu vas les inscrire à l’école pour qu’ils ne finissent pas comme leur père ? », a répliqué Grégory Roose avant que Gradur n’ajoute, « J’ai un bac + 2 donc minimum licence ou master s’ils veulent faire mieux que leur père. Et le racisme, tu l’as appris à l’école ou ça vient aussi de tes parents ? » et enfin le rappeur a conclu « À l’époque les racistes se cachaient dans un bar pour cracher leurs haines, aujourd’hui, ils ont les réseaux sociaux…« .