De passage dans l’émission Legend pour présenter le film « 4 Zéros« , Kaaris s’est confié sans concession à Guillaume Pley en acceptant de répondre à ses questions, même celles sur sa vie privée. Le rappeur originaire de Sevran a notamment parlé de son début de carrière dans le rap, sa nouvelle vie au Portugal et de la récente perte de sa mère.
Le témoignage poignant de Kaaris sur la mort de sa mère
Le parcours de Kaaris est jalonné de succès, mais aussi de moments difficiles. Dans « 4 zéros », le rappeur explore de nouveaux horizons en tant qu’acteur en s’illustrant dans une comédie, tout en poursuivant sa carrière dans le cinéma avec déjà plusieurs rôles à son actif comme dans les films, « Fastlife », « Braqueurs », « Overdrive », « Bronx » et l’année dernière « Le roi des ombres« . Invité par Guillaume Pley dans son émission diffusée sur Youtube, Riska est revenu sur son parcours dans la musique, lles raisons qu’ils l’ont poussé à quitter la France pour aller vivre à Lisbonne ou encore le décès de sa maman.
Le rappeur du *3 a décrit avec une émotion palpable la disparation de sa mère, révélant un homme sensible et profondément marqué par le deuil. En évoquant les nombreux messages vocaux qu’il a conservés de sa mère, Kaaris a offert une description de leur relation unique et de la douleur qu’il éprouve encore aujourd’hui. Ce témoignage touchant a non seulement renforcé son image d’artiste authentique. « Avant, quand tu perdais quelqu’un de proche, à part le cimetière, tu n’as pas de liens. Maintenant, tu as le téléphone. J’ai une centaine de messages vocaux de ma mère que je ne peux pas écouter. Ça fait un an. Je ne peux pas les écouter.« , a décrit Riska.
« Mais j’ai les messages vocaux parce qu’elle m’envoyait des messages et des prières tous les matins. », poursuit Kaaris avant d’ajouter, « En fait, je ne peux pas écouter sa voix. J’ai encore ses messages, c’est dur frère […] Je ne peux pas entendre sa voix, c’est le plus chaud je crois. ». « C’est une mère, on ne s’en remet jamais. Ma mère c’était tout pour moi […] Je pense qu’elle me protège. Elle est fière de ses enfants. Elle était surprotectrice, c’était une maman louve. » a conclu Riska.