Bienvenue dans le quartier de Southside, Jamaica, Queens, 1991, Starzplay fait revivre la nostalgie des années 90 avec le trailer officiel, de la série Power Book III : Raising Kanan, le spin-off créé par 50 Cent.
Les fans de la série Power ont partagé un souvenir des années 90 avec le hashtag #RaisingKanan1991 sur Twitter et ont débloqué le trailer grâce à la fonction “flock to unlock” de la plateforme après avoir atteint 1991 engagements.
Paris, – le vendredi 11 juin 2021 – STARZPLAY dévoile aujourd’hui le trailer officiel de sa nouvelle série dramatique, “Power Book III: Raising Kanan,” le troisième chapitre de la franchise issue de l’univers “Power”. Le trailer a été dévoilé dans le monde entier suite à l’appel lançé sur la page Twitter officielle de la série proposant aux fans de tweeter leur souvenir préféré des années 90 en utilisant le hashtag #RaisingKanan1991 pour atteindre 1991 engagements sur la plateforme et ainsi débloquer le trailer. La nouvelle série originale STARZ sera lancée à l’international le 18 juillet sur STARZPLAY.
Le troisième chapitre de l’univers “Power” compte à son casting Patina Miller (“Madam Secretary;” la franchise “The Hunger Games”) dans le rôle de Raquel “Raq” Thomas et Mekai Curtis dans celui de Kanan Stark. Omar Epps (“House,” “Love and Basketball”), London Brown (“Ballers”), Malcolm Mays (“Them,” “Snowfall”), Hailey Kilgore (“Amazing Stories”), Joey Bada$$ (“Two Distant Strangers”), Toby Sandeman (“The Royals”), Shanley Caswell (“The Conjuring”), Lovie Simone (“The Craft: Legacy”) et Quincy Brown (“Dope”) sont également présents au casting.
Sascha Penn est le créateur et le showrunner de la série. Il est également producteur aux côtés de Curtis “50 Cent” Jackson et Courtney A. Kemp. Les séries issues de l’univers “Power” sont produites par la créatrice et showrunner de la série “Power” Courtney A. Kemp, par le biais de sa société de production End of Episode et de son accord global avec Lionsgate Television, par Curtis “50 Cent” Jackson par le biais de G-Unit Film and Television et par Mark Canton par le biais de Atmosphere Entertainment MM. Chris Selak et Danielle De Jesus de End of Episode, Shana Stein et Bart Wenrich sont également producteurs exécutifs.
À propos de “Power Book III : Raising Kanan”
Dans le quartier de South Jamaica, Queens, en 1991, « Raising Kanan » est un prequel de la franchise originale « Power ». Il s’agit d’un drame familial tentaculaire qui suit le passage à l’âge adulte de Kanan Stark, le mentor, le partenaire et l’adversaire de Ghost et Tommy, qui finira par mourir dans une fusillade durant le huitième épisode de l’avant-dernière saison de « Power ».
Lorsque nous rencontrons Kanan, il a 15 ans et il est l’enfant unique de Raquel “Raq” Thomas, une dealeuse de cocaïne avec un réseau émergent à travers la ville. Tout comme la série originale « Power », « Raising Kanan » explore les thèmes de l’identité, de la violence et de l’héritage avec une plongée dans la pathologie même de la famille, la dynamique unique, compliquée et tendue entre parent et enfant, mère et père, frère et sœur.
Dans un monde de plus en plus divisé, la famille apparaît souvent comme le seul refuge contre les divisions et la discorde. Pourtant, les personnes les plus proches sont souvent celles qui nous trahissent, nous et nos valeurs. Cette première saison de « Raising Kanan » est une exploration de ces trahisons, des secrets et des mensonges qui les accompagnent et la manière dont elles s’enveniment, se métastasent et finissent par éclater.
Le thème principal de cette première saison pourrait se résumer par l’adage : « on récolte ce que l’on sème ». En d’autres termes, les actions ont des conséquences ; les trahisons sont toujours découvertes ; les secrets sont inévitablement révélés… Tous les personnages de « Raising Kanan » cachent quelque chose… au monde, aux autres et à eux-mêmes. Au fil des épisodes, ils devront faire face aux conséquences involontaires et destructrices des informations qu’ils ont cachées.
Et si ces trahisons, secrets et mensonges sont révélés de manière différente, une vérité reste constante : dans « Raising Kanan », comme dans l’univers « Power », on ne peut faire confiance à personne et rien n’est jamais ce qu’il semble être.